J’appela mes amis pour les inviter à venir aves moi au Parc
de la Mauricie. En j’appela Renaud ensuite Mathis, Thomas,
Étienne et Émile. J’ai ù de la beaucoup chances car ils ont pouvait tous. Nous
nous donnons randévous samedi là-bas. Aujourd’hui nous sommes la journée que j’attendais avec impatience,
samedi. Je fais mon sac et parti au Parque de la Mauricie. Tous mes amis
m’attendaient au tabes à pique-nique. J’explique les règles à mes amis. Vu que
nous étions six, nous nous avons séparé en équipe de trois. Moi je suis avec
Étienne et Renaud. Je pence que nous faisons une bonne équipe. Un, deux, trois
go les deux équipes parti en courant. Notre équipe est en premier. Soudain nous
arrêtons de courir et nous marchons pour gardé de l’énergie. Tout à coup nous
voilons deux chemain très étroits. Nous décidons au azore celui de gauche et la
course est recommencer.
Tout à coup, nous nous apercevons que nous sommes perdus.
Nous essayons de revenir sur nos pas.
Mais il avait d’autre trace de pas dans la boue. Nous essayons de faire un feu
mais personne ne arrivas. Nous mangeons chacun une pomme pour prendre des force
car nous en avons besoins.
Soudain il me vains une idée. Je le disa au autre. Mon idée
est de continué droit de vent avec la boussole à Renaud. Renaud et Étienne
étaient entièrement d’accort. Nous sortons la boussole à Renaud de son sac,
nous la plaçons correctement et nous partons. Pendants la route nous voilions
plain d’animaux comme des écureuils, des petits tamias et même des trous de
marmot.
Tout à coup, nous sortons du bois et nous voilions l’autre
équipe derrière nous. Moi et les gars, nous soupsenons que c’était un petit raccourci et nous
revoilà dans la course. Nous recommençons à courir, marcher, courir, marcher et
sur tous manger. À chaque station que nous arrêtions nous pouvions voire les
belles couleurs des harbes et en plus j’avais apporté mon appareille photo. Il
reste happerais quinze minutes à la course. Je vois la ligne d’arriver les deux
équipe commence à courir au max et nous franchisons la ligne d’arriver. Mon
père était à la ligne d’arriver et nous disas que nous sommes égale.
Nous nous disons au revoir. Rendu a la maison j’expliqua a
ma mère notre aventure.
Fin
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