vendredi 25 octobre 2013

La course



J’appela mes amis pour les inviter à venir aves moi au Parc de la Mauricie. En  j’appela Renaud ensuite Mathis, Thomas, Étienne et Émile. J’ai ù de la beaucoup chances car ils ont pouvait tous. Nous nous donnons randévous samedi là-bas. Aujourd’hui nous sommes  la journée que j’attendais avec impatience, samedi. Je fais mon sac et parti au Parque de la Mauricie. Tous mes amis m’attendaient au tabes à pique-nique. J’explique les règles à mes amis. Vu que nous étions six, nous nous avons séparé en équipe de trois. Moi je suis avec Étienne et Renaud. Je pence que nous faisons une bonne équipe. Un, deux, trois go les deux équipes parti en courant. Notre équipe est en premier. Soudain nous arrêtons de courir et nous marchons pour gardé de l’énergie. Tout à coup nous voilons deux chemain très étroits. Nous décidons au azore celui de gauche et la course est recommencer.

Tout à coup, nous nous apercevons que nous sommes perdus. Nous essayons  de revenir sur nos pas. Mais il avait d’autre trace de pas dans la boue. Nous essayons de faire un feu mais personne ne arrivas. Nous mangeons chacun une pomme pour prendre des force car nous en avons besoins.

Soudain il me vains une idée. Je le disa au autre. Mon idée est de continué droit de vent avec la boussole à Renaud. Renaud et Étienne étaient entièrement d’accort. Nous sortons la boussole à Renaud de son sac, nous la plaçons correctement et nous partons. Pendants la route nous voilions plain d’animaux comme des écureuils, des petits tamias et même des trous de marmot.

Tout à coup, nous sortons du bois et nous voilions l’autre équipe derrière nous. Moi et les gars, nous soupsenons  que c’était un petit raccourci et nous revoilà dans la course. Nous recommençons à courir, marcher, courir, marcher et sur tous manger. À chaque station que nous arrêtions nous pouvions voire les belles couleurs des harbes et en plus j’avais apporté mon appareille photo. Il reste happerais quinze minutes à la course. Je vois la ligne d’arriver les deux équipe commence à courir au max et nous franchisons la ligne d’arriver. Mon père était à la ligne d’arriver et nous disas que nous sommes égale.

Nous nous disons au revoir. Rendu a la maison j’expliqua a ma mère notre aventure.



Fin

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