vendredi 25 octobre 2013

Un massacre en forêt

Thomas Jodoin
2013-10-25


Je me promène dans la forêt du parc de la Mauricie. Le paysage est beau et vert bref un paysage magnifique. Je me dirige vers le sentier de la montagne. J’ai tout le matériel nécessaire ma gourde, ma boîte a lunch et bien sûr mon sac a dos bleu.


Je suis en haut de la montagne. Tout à coup j’entends un bruit bizarre et je vois un esprit. Il est bleu pâle, ses yeux rouges vif étincelle, il vol comme un génie. Il me voie et fait un bruit vraiment bizarre, un bruit aigu, un bruit du genre chevalier noir. Je me dis tout de suite que je devrais prendre mes jambes à mon coup.


Je descends vigoureusement mais vraiment rapidement, je fais attention a ne pas me cogner sur une roche. Je suis en fin arriver en bas, je regarde en arrière et je voie l’esprit derrière moi qui vole en ma direction en brulant les arbres derrière lui. Je saute dans l’eau me disant que je serais sauvé. Dès que je suis dans l’eau l’esprit pétrifie l’eau avec moi dedans. Heureusement je réussi à sortir et a me déprendre en me jetant par terre.


Je me dépêche de me diriger vers la sortie pour voir s’il y a voiture qui pourrait me prendre et m’apporter loin de cet esprit de malheur. Mais non, malheureusement il n’y a pas d’auto qui pourrait venir à ma rescousse. Je regarde derrière moi et je vois l’esprit qui a l’ère en furit. Il a les yeux rouges foncés, le corp bleu foncé, rendu vraiment épeurent. Il essai de me lancer des boules de feu mais ne réussi pas à m’atteindre.

 Il finit par me prendre par le bras me lancer dans les airs et me rattrape par la jambe. Il m’amène vers le haut de la montagne. Je me débats mais pas trop car sinon je vais tomber dans la forêt. J’attends d’être en haut de la rivière pour me débattre de toutes mes forces, dès que nous somme arriver au dessus de la rivière, l’esprit accélère donc je n’est pas le temps de me déprendre. Il m’amène en haut de la montagne et me lâche. Je sens le vent autour de moi je vois le sol se rapprocher et tout à coup se fut l’obscuriter.

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